Philippe Gabilliet est professeur associé en comportement organisationnel à ESCP Europe depuis 1995. Il intervient à l'occasion de la convention 2013 de la marque Charlott' lingerie, sur le thème de la chance.
vendredi 31 juillet 2015
Optimisme et Chance ? - Intervention Philippe Gabilliet - ESCP Europe - Convention Charlott' 2013
Philippe Gabilliet est professeur associé en comportement organisationnel à ESCP Europe depuis 1995. Il intervient à l'occasion de la convention 2013 de la marque Charlott' lingerie, sur le thème de la chance.
La réussite une question de Chance ? - Philippe Gabilliet - ESCP Europe
Philippe Gabilliet est professeur (affilié, puis associé) en comportement organisationnel à ESCP Europe depuis 1995. Biographie sur: http://escpeuro.pe/1abfHed
Il intervient dans les domaines de la prospective managériale, du développement du leadership et du management interculturel, particulièrement sur l'Asie Orientale. Il enseigne aussi au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris), et à HEC Genève (Suisse) et est impliqué dans plusieurs programmes développés en Chine ou au Maghreb.
Très actif dans les programmes de formation destinés aux managers et dirigeants, il est depuis 2004 le directeur académique du European Executive MBA. Il assure de même la direction ou la co-direction pédagogique des programmes STEGE "Diriger & Motiver", "Manager et Coach" ainsi que "Profession Manager". Un autre aspect important de son activité est lanimation de sessions de formation pour managers et dirigeants d'entreprises européennes ou internationales telles que : Sanofi-Aventis, Société Générale, Auchan, EDF, Areva, Arcelor-Mittal ou KPMG.
Avant de débuter une carrière académique, Philippe Gabilliet a co-fondé dans les années 80 la société de conseil Forces Vives (Groupe IPC) dont la mission était l'accompagnement stratégique de grandes entreprises dans leurs stratégies de développement commercial. Il a ensuite dirigé, au début des années 90, le service de l'action commerciale de CPN Assurances.
Il est l'auteur et l'adaptateur de plusieurs ouvrages dans les domaines du management et du développement professionnel, parmi lesquels :
* « Comportements organisationnels », Pearson Education, 2006 (traduit et adapté de Robbins & Judge « Organizational Behaviour »)
* « Management : l'essentiel des concepts et des pratiques », Pearson Education, 2004 (traduit et adapté de Robbins & DeCenzo « Fundamentals of Management »)
* « Savoir anticiper : les outils pour maîtriser son futur », ESF Editeur, 1999.
* « Se former soi-même. Les outils de l'autoformation », ESF Editeur, 1997.
Philippe Gabilliet est Docteur en Sciences de Gestion, diplômé de 3ème cycle en Analyse Politique Approfondie et Diplômé de Sciences-Po Bordeaux.
Il intervient dans les domaines de la prospective managériale, du développement du leadership et du management interculturel, particulièrement sur l'Asie Orientale. Il enseigne aussi au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers, Paris), et à HEC Genève (Suisse) et est impliqué dans plusieurs programmes développés en Chine ou au Maghreb.
Très actif dans les programmes de formation destinés aux managers et dirigeants, il est depuis 2004 le directeur académique du European Executive MBA. Il assure de même la direction ou la co-direction pédagogique des programmes STEGE "Diriger & Motiver", "Manager et Coach" ainsi que "Profession Manager". Un autre aspect important de son activité est lanimation de sessions de formation pour managers et dirigeants d'entreprises européennes ou internationales telles que : Sanofi-Aventis, Société Générale, Auchan, EDF, Areva, Arcelor-Mittal ou KPMG.
Avant de débuter une carrière académique, Philippe Gabilliet a co-fondé dans les années 80 la société de conseil Forces Vives (Groupe IPC) dont la mission était l'accompagnement stratégique de grandes entreprises dans leurs stratégies de développement commercial. Il a ensuite dirigé, au début des années 90, le service de l'action commerciale de CPN Assurances.
Il est l'auteur et l'adaptateur de plusieurs ouvrages dans les domaines du management et du développement professionnel, parmi lesquels :
* « Comportements organisationnels », Pearson Education, 2006 (traduit et adapté de Robbins & Judge « Organizational Behaviour »)
* « Management : l'essentiel des concepts et des pratiques », Pearson Education, 2004 (traduit et adapté de Robbins & DeCenzo « Fundamentals of Management »)
* « Savoir anticiper : les outils pour maîtriser son futur », ESF Editeur, 1999.
* « Se former soi-même. Les outils de l'autoformation », ESF Editeur, 1997.
Philippe Gabilliet est Docteur en Sciences de Gestion, diplômé de 3ème cycle en Analyse Politique Approfondie et Diplômé de Sciences-Po Bordeaux.
Best Of USI 2015 de USI Events - 1/10 vidéos - Pour faire naître une idée - Cédric Villani, à l'USI 2015
Avec une idée, dans la tête d'un chercheur, d'un ingénieur, d'un inventeur, on peut changer le monde, un peu ou beaucoup. Mais une idée, cela ne pousse pas comme cela dans la tête des gens ; il en faut, des ingrédients et des engrais, pour l'amener jusqu'à la naissance ! Cédric Villani, médaillé Fields en 2010 en passera certains en revue, tout en évoquant sa propre expérience en la matière ; il mettra cela en regard avec le rôle de la mathématique dans l'innovation contemporaine.
Informations et inscription sur http://www.usievents.com
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samedi 25 juillet 2015
Humain et Révolution numérique - Michel Serres - Conférences de l'USI Events 2013
Epistémologue rigoureux, soucieux d'éducation et de diffusion du savoir, Michel Serres nous raconte que l'homme vit aujourd'hui la troisième révolution de son histoire. Après l'écriture et l'imprimerie, le voilà face au numérique. Pour cela, il reprend son personnage "Petite Poucette" et nous fait voyager au travers des époques.
Watch in English: http://youtu.be/Ja1hRiV_BS0
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vendredi 24 juillet 2015
USI 2015 : 40 vidéos - De l'entreprise digitale à l'entreprise libérée - Ludovic Cinquin - USI Events
Diplômé de l'Ecole Centrale Paris et de la Technische Universität de Munich, Ludovic Cinquin a accompagné la fondation d'OCTO en 1998.
Il traite du passage de l'entreprise digitale à l'entreprise libérée. La transformation digitale de l’entreprise prend acte de l’impact des technologies sur les business models, la relation au client, mais aussi et surtout sur les façons de travailler et la culture de l’entreprise : toute transition numérique finit par trouver sur son chemin la nécessaire autonomisation des équipes, la prise de décision au plus proche du terrain par les gens qui font, le droit à l'erreur, l'enjeu d'un pilotage centré sur la mesure.
Les ressorts de cette transformation culturelle sont au final très proches de ceux qu’ont mis en oeuvre les entreprises libérées. Nous pouvons y trouver des pistes pour explorer les enjeux de ce grand saut du changement digital ?
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Il traite du passage de l'entreprise digitale à l'entreprise libérée. La transformation digitale de l’entreprise prend acte de l’impact des technologies sur les business models, la relation au client, mais aussi et surtout sur les façons de travailler et la culture de l’entreprise : toute transition numérique finit par trouver sur son chemin la nécessaire autonomisation des équipes, la prise de décision au plus proche du terrain par les gens qui font, le droit à l'erreur, l'enjeu d'un pilotage centré sur la mesure.
Les ressorts de cette transformation culturelle sont au final très proches de ceux qu’ont mis en oeuvre les entreprises libérées. Nous pouvons y trouver des pistes pour explorer les enjeux de ce grand saut du changement digital ?
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De la "Ville Numérique" à la "Ville Vivante" - Smart City Humaine - Carlos Moreno à l'USI 2015
A l’âge de la multitude, en ces temps ubiquitaires du XXIème siècle et dans un monde urbanisé, la ville se transforme en profondeur.
Avec les apports de la technologie et en particulier du numérique au service des usages, la ville sensible s'hybride incarnant le croisement social, urbain et technologique.
Avec le citoyen au centre, à l'ère de l'économie collaborative et du partage, la ville vivante devient la Smart City Humaine, territoires de vie, de brassage, de partage, notre défi pour les années à venir.
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Avec les apports de la technologie et en particulier du numérique au service des usages, la ville sensible s'hybride incarnant le croisement social, urbain et technologique.
Avec le citoyen au centre, à l'ère de l'économie collaborative et du partage, la ville vivante devient la Smart City Humaine, territoires de vie, de brassage, de partage, notre défi pour les années à venir.
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Politique de la donnée - Open Data, Big Data, Open Government - Henri Verdier, à l'USI Events 2015
La révolution numérique, qui devient de plus en plus révolution de la donnée, saisit aussi la puissance publique. C'est un défi qui demande à l'Etat de repenser aussi bien ses relations avec les citoyens ou ses stratégies d'innovation, que ses formes d'intervention, ses stratégies économiques ou son rôle dans la société. Open data, big data, open government : l'Etat définit progressivement une politique de la donnée qui le transforme en profondeur.
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Transformation Digitale des entreprises - Gilles Babinet à l'USI 2015
Gilles Babinet est un multi-entrepreneur français. Il est actuellement « Digital Champion » de la France auprès de la Commission Européenne. Gilles Babinet expose sa vision de la transformation digitale des entreprises en décrivant les challenges et facteurs de succès, puis il aborde la situation contrastée du CAC 40 pour finir sur les processus existants qui sont en voie de transformation.
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De l'intérêt de déchiffrer des tableaux : un exercice pratique - Christian Monjou à l'USI Events 2015
Le leader est un décrypteur de signes. Sa légitimité vient de savoir en décrypter plus que d'autres, avant les autres en se passionnant pour des signes que les autres négligent.
Lire des tableaux, lier lecture et action quotidienne peuvent rendre plus attentif, agile et pertinent l'œil du leader.
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Lire des tableaux, lier lecture et action quotidienne peuvent rendre plus attentif, agile et pertinent l'œil du leader.
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Comment éviter de se faire court-circuiter par le Digital ? - Christian Fauré, à l'USI 2015
Ingénieur et philosophe, Christian Fauré est Partner chez OCTO Technology et président de l'Institut de Recherche et d'Innovation du Centre Pompidou.
Il répond à la question suivante : Comment éviter de se faire court-circuiter par le digital ? Son propos s'adresse aussi bien aux entreprises qu'aux individus, car si les premières peuvent se faire "Uberiser", les seconds – c'est à dire nous tous – peuvent aussi perdre leur emploi et, comme il le montre, leurs savoirs. En cause : l'automatisation galopante que porte la transformation digitale de nos sociétés et de nos vies.
Au-delà des constats, ce sont des véritables préconisations thérapeutiques concernant les automatismes digitaux qui seront présentées durant cette session, notamment en portant un discours différent sur ce que l'on peut entendre à propos des "transformations digitales".
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Il répond à la question suivante : Comment éviter de se faire court-circuiter par le digital ? Son propos s'adresse aussi bien aux entreprises qu'aux individus, car si les premières peuvent se faire "Uberiser", les seconds – c'est à dire nous tous – peuvent aussi perdre leur emploi et, comme il le montre, leurs savoirs. En cause : l'automatisation galopante que porte la transformation digitale de nos sociétés et de nos vies.
Au-delà des constats, ce sont des véritables préconisations thérapeutiques concernant les automatismes digitaux qui seront présentées durant cette session, notamment en portant un discours différent sur ce que l'on peut entendre à propos des "transformations digitales".
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Pourquoi la chance sourit-elle aux audacieux ? - Philippe Gabilliet à l'USI 2015
Philippe Gabilliet, docteur en Sciences de gestion et diplômé de Sciences-Po Bordeaux, est spécialiste de la motivation et des stratégies mentales de la réussite.
Dans toute réussite, la chance, un jour ou l'autre, a joué un rôle. Hasard, inattendu, événements fortuits en tous genres (mais aussi accidents de parcours), tissent la trame des parcours de vie mémorables.
Mais la recherche en psychologie du comportement nous confirme aujourd'hui que la chance authentique, cette "capacité à attirer et bénéficier régulièrement de circonstances inattendues et hors-contrôle" obéit en fait à quelques principes simples, quoique d'une étonnante efficacité.
Mais la mise en oeuvre de ces principes ne saurait à elle seule expliquer les chances récurrentes. Car chacun, afin de tirer parti des cadeaux de l'inattendu, doit aussi affronter ses doutes et ses craintes. Il nous faut pour cela pénétrer avec détermination dans notre propre "zone d'audace", lieu où les possibles peuvent enfin se transformer en opportunités de vie.
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Dans toute réussite, la chance, un jour ou l'autre, a joué un rôle. Hasard, inattendu, événements fortuits en tous genres (mais aussi accidents de parcours), tissent la trame des parcours de vie mémorables.
Mais la recherche en psychologie du comportement nous confirme aujourd'hui que la chance authentique, cette "capacité à attirer et bénéficier régulièrement de circonstances inattendues et hors-contrôle" obéit en fait à quelques principes simples, quoique d'une étonnante efficacité.
Mais la mise en oeuvre de ces principes ne saurait à elle seule expliquer les chances récurrentes. Car chacun, afin de tirer parti des cadeaux de l'inattendu, doit aussi affronter ses doutes et ses craintes. Il nous faut pour cela pénétrer avec détermination dans notre propre "zone d'audace", lieu où les possibles peuvent enfin se transformer en opportunités de vie.
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mercredi 22 juillet 2015
Histoires secrètes entre la France et le FBI - Cercle K2, Spallian, ANAJ-IHEDN 2015
L’ANAJ-IHEDN, en partenariat avec le Cercle K2 et Spallian, a le plaisir de vous inviter à une conférence inédite :
Histoires secrètes entre la France et le FBI : les dessous d’une relation particulière
Raymond J. BATVINIS
Ancien agent spécial du FBI – Directeur exécutif de la J. Edgar Hoover Foundation
Historien à la George Washington University
Vincent NOUZILLE
Journaliste spécialiste des questions de renseignement
Alexandre RIOS-BORDES
Chercheur sur l’histoire des services secrets américains
Général (2s) Jean-Pierre MEYER
Président du Cercle K2
____
Mercredi 24 juin 2015 - 19h00 à 21h00 - Ecole militaire - Amphithéâtre Foch
____
En 1908, un dénommé Charles Bonaparte, ministre de la Justice du Président Théodore Roosevelt annonce la création du « Bureau of investigation » (BIO). Ce service de l’Etat a alors pour objectif delutter contre le crime organisé, est composée d’une dizaine d’inspecteurs. En 1935, il deviendra le célèbre FBI (Federal bureau of investigation) qui doit sa notoriété au succès de ses opérations et au grand nombre d’affaires élucidées. A ce jour, il possède des bureaux dans quatre cents villes américaines et une cinquantaine d’ambassades dans le monde.
Directeur du Bureau de 1935 à 1972, soit pendant plus de 37 ans, John Edgar Hoover a fait de cette agence américaine la plus célèbre organisation policière du monde. De l’époque d’Al Capone à la traque des espions communistes durant la guerre froide, en passant par son rôle décisif durant le débarquement, cette soirée exceptionnelle nous permettra de revenir sur les origines du FBI, les affaires et personnages qui ont marqué l’histoire du Bureau depuis 80 ans. Aux côté d’un journaliste et d’un chercheur spécialistes des questions de renseignement, nous aurons l’honneur de recevoir Raymond J. Batvinis venu spécialement des Etats-Unis pour nous parler de son expérience et de ses recherches.
Programme
19h00 : Introduction par François Mattens, Président de l’ANAJ-IHEDN et le Général (2s) Jean-Pierre Meyer, Président du Cercle K2
19h15-20h00 : Intervention de Raymond J. Batvinis, ancien agent spécial du FBI, Directeur exécutif de la J. Edgar Hoover Foundation
20h00-20h30 : Table ronde autour de Raymond J. Batvinis, Vincent Nouzille et Alexandre Rios-Bordes
20h30-20h55 : Echanges avec la salle
21h00 : Intervention de clôture par Vincent Nouzille, journaliste spécialiste des questions de renseignement
http://www.anaj-ihedn.org/histoire-fbi/
Histoires secrètes entre la France et le FBI : les dessous d’une relation particulière
Raymond J. BATVINIS
Ancien agent spécial du FBI – Directeur exécutif de la J. Edgar Hoover Foundation
Historien à la George Washington University
Vincent NOUZILLE
Journaliste spécialiste des questions de renseignement
Alexandre RIOS-BORDES
Chercheur sur l’histoire des services secrets américains
Général (2s) Jean-Pierre MEYER
Président du Cercle K2
____
Mercredi 24 juin 2015 - 19h00 à 21h00 - Ecole militaire - Amphithéâtre Foch
____
En 1908, un dénommé Charles Bonaparte, ministre de la Justice du Président Théodore Roosevelt annonce la création du « Bureau of investigation » (BIO). Ce service de l’Etat a alors pour objectif delutter contre le crime organisé, est composée d’une dizaine d’inspecteurs. En 1935, il deviendra le célèbre FBI (Federal bureau of investigation) qui doit sa notoriété au succès de ses opérations et au grand nombre d’affaires élucidées. A ce jour, il possède des bureaux dans quatre cents villes américaines et une cinquantaine d’ambassades dans le monde.
Directeur du Bureau de 1935 à 1972, soit pendant plus de 37 ans, John Edgar Hoover a fait de cette agence américaine la plus célèbre organisation policière du monde. De l’époque d’Al Capone à la traque des espions communistes durant la guerre froide, en passant par son rôle décisif durant le débarquement, cette soirée exceptionnelle nous permettra de revenir sur les origines du FBI, les affaires et personnages qui ont marqué l’histoire du Bureau depuis 80 ans. Aux côté d’un journaliste et d’un chercheur spécialistes des questions de renseignement, nous aurons l’honneur de recevoir Raymond J. Batvinis venu spécialement des Etats-Unis pour nous parler de son expérience et de ses recherches.
Programme
19h00 : Introduction par François Mattens, Président de l’ANAJ-IHEDN et le Général (2s) Jean-Pierre Meyer, Président du Cercle K2
19h15-20h00 : Intervention de Raymond J. Batvinis, ancien agent spécial du FBI, Directeur exécutif de la J. Edgar Hoover Foundation
20h00-20h30 : Table ronde autour de Raymond J. Batvinis, Vincent Nouzille et Alexandre Rios-Bordes
20h30-20h55 : Echanges avec la salle
21h00 : Intervention de clôture par Vincent Nouzille, journaliste spécialiste des questions de renseignement
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samedi 18 juillet 2015
"Machine Learning et Cardiologie" - Yann Fleureau - StartUpFood 2015
"Machine Learning et Cardiologie" - Yann Fleureau
Med In Tech c'est le rendez-vous pour tous ceux et celles qui veulent innover dans la santé. Chaque mois, de remarquables speakers sont présents pour aborder les différentes thématiques liées à ce secteur.
Ne ratez pas le prochain Meetup : http://www.meetup.com/med-in-tech
Ne ratez pas le prochain Meetup : http://www.meetup.com/med-in-tech
vendredi 17 juillet 2015
Objets connectés : Quelles incidences sur les télécoms ? - F. Forster, E. Lemoalle, Toledano - Bensoussan Avocats 2015
Objets connectés : Quelles incidences sur les télécoms ?
Frédéric Forster, Edouard Lemoalle, avocats, et Joëlle Toledano, Professeur des universités et auteur du rapport « Une gestion dynamique du spectre pour l’innovation et la croissance », animeront un petit-déjeuner débat consacré à l'impact des objets connectés sur les télécoms.
La chaîne « Lexing Alain Bensoussan Avocats » entièrement dédiée au droit des nouvelles technologies a été créée par Alain Bensoussan, avocat à la Cour d'appel de Paris depuis 1978.
Site Lexing Alain Bensoussan Avocats : http://www.alain-bensoussan.com/
Sur Google+ : https://plus.google.com/111351102797295964003
Yale School of Architecture : "Le Corbusier after Le Corbusier" - Pr Leon Krier - Yale 2015
Yale School of Architecture : "Le Corbusier after Le Corbusier"
Yale School of Architecture Public Lecture Series - March 30, 2015
Though recognizing the architect’s enormous artistic and visionary talent, Professor Krier proposes a revolutionary reading and revision of the LC Corpus.
Leon Krier
Robert A.M. Stern Visiting Professor
Though recognizing the architect’s enormous artistic and visionary talent, Professor Krier proposes a revolutionary reading and revision of the LC Corpus.
Leon Krier
Robert A.M. Stern Visiting Professor
jeudi 16 juillet 2015
USI 2015 : 41 videos - Cyber-Physical Systems, IoT and Ubiquitous Feedback - Raffaello D'Andrea, at USI Events
Cyber-Physical Systems, IoT and Ubiquitous Feedback - Raffaello D'Andrea, at USI 2015
Raffaello d'Andrea, Professor at ETH Zurich will give us his vision on the future of Robotics.
What happens when everything is interconnected? When machines and autonomous systems can learn and adapt, and share information amongst themselves? When the engineered world is one large adaptive network? Truly wonderful things, to be sure, but let's be careful what we wish for.
SPARKED, the short film featuring 10 quadcopters in an interactive flying dance performance : https://www.youtube.com/watch?v=6C8OJ...
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What happens when everything is interconnected? When machines and autonomous systems can learn and adapt, and share information amongst themselves? When the engineered world is one large adaptive network? Truly wonderful things, to be sure, but let's be careful what we wish for.
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Jacques Attali, Carlos Ghosn, José Manuel Lopez : Repenser l'industrie automobile, Rencontres économiques Aix2013
L’automobile, une industrie en mutation :
Le cas de l’automobile est particulièrement intéressant à traiter d’un point de vue économique car le secteur fait non seulement face à des problèmes structurels mais aussi à des difficultés conjoncturelles.
Mutations et ajustements. Ces dernières années, la consommation automobile a connu de nombreuses mutations. Lionel Fontagné, membre du Cercle des économistes, introduit le débat par ces questions : comment s’adapter à cette nouvelle donne globale ? Comment ré-organiser cette industrie ? Quelles seront les nouvelles voitures, avec quelles nouvelles technologies ? Tout en gardant à l’esprit que ces nouveaux problèmes ne peuvent être appréhendés de la même manière selon les pays, constituant autant de marchés spécifiques.
Réformes et regain. Jacques Attali fut l’un des premiers à prédire les répercussions de la crise. Pour lui, si celle-ci n’a pas eu d’effets palpables dans les premiers mois, le secteur automobile a été rapidement touché de plein fouet. Aujourd’hui, même si la Chine est devenue le premier marché automobile mondial, cette industrie a un avenir en Europe. Comme argument, José Manuel Soria Lopez, Ministre de l’industrie, de l’énergie et du tourisme espagnol, souligne le regain de vigueur du marché automobile de la péninsule ibérique. Deux facteurs ont contribué au soutien des constructeurs espagnols : un environnement fiscal favorable aux entreprises, directement piloté par l’Etat et la prise de conscience de la part de ces entreprises qu’elles devaient être compétitives sur le marché européen. En soit, des réformes structurelles mais « pratiques » selon les termes du Ministre.
Ecologie et compétitivité. Ces deux points sont aujourd’hui déterminants dans le regain de vigueur de l’industrie automobile. Carlos Ghosn, à la tête de Renault Nissan, n’imagine pas une industrie automobile du futur qui ne serait pas tournée vers les modèles hybrides et les voitures électriques. Ces innovations répondent aux grandes dépendances des pays envers le pétrole et ses conséquences sur l’environnement. Cette évolution n’est, bien sur, envisageable qu’accompagnée de la mise en place de nouvelles infrastructures. Jacques Attali ajoute que l’Etat a un rôle important à jouer dans l’industrie en étant le promoteur des industries de demain. Dans cette quête de compétitivité c’est l’assembleur qui sera désormais le déterminant principal.
Un choix émotionnel. Dans une approche innovante de l’industrie automobile, Carlos Ghosn estime que l’achat d’une voiture n’est plus seulement un choix rationnel, c’est aussi un choix émotionnel, « la voiture aujourd’hui c’est comme un chien, vous ne le choisissez pas pour son poids ou sa consommation quotidienne ». On achète une voiture pour sa marque, son luxe, sa forme, sa couleur. Les deux heures quotidiennes passées par la plupart des individus dans leurs voitures vont tendre à devenir des heures ou l’utilisateur pourra « faire quelque chose ». C’est dans cette optique que le dirigeant de Renault Nissan imagine l’industrie automobile comme une industrie de service pour le monde de demain.
Anissa Fersi
Le cas de l’automobile est particulièrement intéressant à traiter d’un point de vue économique car le secteur fait non seulement face à des problèmes structurels mais aussi à des difficultés conjoncturelles.
Mutations et ajustements. Ces dernières années, la consommation automobile a connu de nombreuses mutations. Lionel Fontagné, membre du Cercle des économistes, introduit le débat par ces questions : comment s’adapter à cette nouvelle donne globale ? Comment ré-organiser cette industrie ? Quelles seront les nouvelles voitures, avec quelles nouvelles technologies ? Tout en gardant à l’esprit que ces nouveaux problèmes ne peuvent être appréhendés de la même manière selon les pays, constituant autant de marchés spécifiques.
Réformes et regain. Jacques Attali fut l’un des premiers à prédire les répercussions de la crise. Pour lui, si celle-ci n’a pas eu d’effets palpables dans les premiers mois, le secteur automobile a été rapidement touché de plein fouet. Aujourd’hui, même si la Chine est devenue le premier marché automobile mondial, cette industrie a un avenir en Europe. Comme argument, José Manuel Soria Lopez, Ministre de l’industrie, de l’énergie et du tourisme espagnol, souligne le regain de vigueur du marché automobile de la péninsule ibérique. Deux facteurs ont contribué au soutien des constructeurs espagnols : un environnement fiscal favorable aux entreprises, directement piloté par l’Etat et la prise de conscience de la part de ces entreprises qu’elles devaient être compétitives sur le marché européen. En soit, des réformes structurelles mais « pratiques » selon les termes du Ministre.
Ecologie et compétitivité. Ces deux points sont aujourd’hui déterminants dans le regain de vigueur de l’industrie automobile. Carlos Ghosn, à la tête de Renault Nissan, n’imagine pas une industrie automobile du futur qui ne serait pas tournée vers les modèles hybrides et les voitures électriques. Ces innovations répondent aux grandes dépendances des pays envers le pétrole et ses conséquences sur l’environnement. Cette évolution n’est, bien sur, envisageable qu’accompagnée de la mise en place de nouvelles infrastructures. Jacques Attali ajoute que l’Etat a un rôle important à jouer dans l’industrie en étant le promoteur des industries de demain. Dans cette quête de compétitivité c’est l’assembleur qui sera désormais le déterminant principal.
Un choix émotionnel. Dans une approche innovante de l’industrie automobile, Carlos Ghosn estime que l’achat d’une voiture n’est plus seulement un choix rationnel, c’est aussi un choix émotionnel, « la voiture aujourd’hui c’est comme un chien, vous ne le choisissez pas pour son poids ou sa consommation quotidienne ». On achète une voiture pour sa marque, son luxe, sa forme, sa couleur. Les deux heures quotidiennes passées par la plupart des individus dans leurs voitures vont tendre à devenir des heures ou l’utilisateur pourra « faire quelque chose ». C’est dans cette optique que le dirigeant de Renault Nissan imagine l’industrie automobile comme une industrie de service pour le monde de demain.
Anissa Fersi
Retrouvez les Rencontres Economiques d'Aix-en-Provence sur : http://lesrencontreseconomiques.fr/2014/
lundi 6 juillet 2015
La Transformation Digitale : Mythes et Réalités - EBG Paris 2015
Beaucoup a été dit, mais quels sont les projets réels ?
Disruption, Uberisation, Kodakisation : Comment les Entreprises anticipent-elles les Changements majeurs susceptibles d'affecter leurs Cœurs de Marché ?
Quels sont à moyen terme les grands marchés qui peuvent affronter, ou affronteront, des tentatives de disruption ? Quelle est la réaction des « incumbents » ? Les « Labs » permettent-ils notamment de mieux comprendre les évolutions structurelles et d'anticiper l'apparition de startups à fort potentiel capables de les déstabiliser ?
Comment le Big Data rend-il le Marketing et la Publicité plus rentable ?
Comment les marques qui ont adopté et implémenté un plan de Big Data mesurent-elles son impact sur la rentabilité des campagnes marketing :
Augmentation des taux de clicks
Augmentation des ventes en ligne et en magasin
Augmentation du panier
Baisse des coûts marketing (baisse absolue des budgets et par action)
Comment le Digital rend-il les équipes plus efficaces et les Processus plus fluides ?
La formation des personnels, le ré-engeneering des processus, l'acquisition de technologies spécifiques ont-ils rendu les entreprises plus efficaces ? Quels gains de temps réels ont été obtenus sur des tâches précises ?
Le Cloud a-t-il tenu ses promesses ?
Les groupes, qui ont choisi d'utiliser les services de clouds pour un certain nombre d'applications sensibles ont-ils obtenu les résultats qu'ils espéraient ? Quels sont les gains de productivité et comment les Directions Digitales et Informatiques ont-elles pu garantir la continuité du service et la sécurité des données ?
Comment évaluer les Résultats et valoriser leur Contribution au ROI ?
Comment mesurer le niveau de digitalisation d'une organisation ? Par la fluidité des process, par la disparition des anomalies ou d'un certain nombre d'erreurs, par des réductions de coûts ? Quels sont les APIs mis en place, qui offrent une vision claire et précise des gains réalisés ?
Comment constituer les Plans d'investissement digitaux ?
A partir de l'expérience cumulée, comment sont décidés les plans d'investissement digitaux ? Quelles sont les composantes de ces plans : acquisition de technologies, développement et service informatique, conseil, formation et accompagnement des équipes ? Comment est formalisée la promesse de gains de productivité et quelles sont les méthodes mise en place pour la mesurer ?
Disruption, Uberisation, Kodakisation : Comment les Entreprises anticipent-elles les Changements majeurs susceptibles d'affecter leurs Cœurs de Marché ?
Quels sont à moyen terme les grands marchés qui peuvent affronter, ou affronteront, des tentatives de disruption ? Quelle est la réaction des « incumbents » ? Les « Labs » permettent-ils notamment de mieux comprendre les évolutions structurelles et d'anticiper l'apparition de startups à fort potentiel capables de les déstabiliser ?
Comment le Big Data rend-il le Marketing et la Publicité plus rentable ?
Comment les marques qui ont adopté et implémenté un plan de Big Data mesurent-elles son impact sur la rentabilité des campagnes marketing :
Augmentation des taux de clicks
Augmentation des ventes en ligne et en magasin
Augmentation du panier
Baisse des coûts marketing (baisse absolue des budgets et par action)
Comment le Digital rend-il les équipes plus efficaces et les Processus plus fluides ?
La formation des personnels, le ré-engeneering des processus, l'acquisition de technologies spécifiques ont-ils rendu les entreprises plus efficaces ? Quels gains de temps réels ont été obtenus sur des tâches précises ?
Le Cloud a-t-il tenu ses promesses ?
Les groupes, qui ont choisi d'utiliser les services de clouds pour un certain nombre d'applications sensibles ont-ils obtenu les résultats qu'ils espéraient ? Quels sont les gains de productivité et comment les Directions Digitales et Informatiques ont-elles pu garantir la continuité du service et la sécurité des données ?
Comment évaluer les Résultats et valoriser leur Contribution au ROI ?
Comment mesurer le niveau de digitalisation d'une organisation ? Par la fluidité des process, par la disparition des anomalies ou d'un certain nombre d'erreurs, par des réductions de coûts ? Quels sont les APIs mis en place, qui offrent une vision claire et précise des gains réalisés ?
Comment constituer les Plans d'investissement digitaux ?
A partir de l'expérience cumulée, comment sont décidés les plans d'investissement digitaux ? Quelles sont les composantes de ces plans : acquisition de technologies, développement et service informatique, conseil, formation et accompagnement des équipes ? Comment est formalisée la promesse de gains de productivité et quelles sont les méthodes mise en place pour la mesurer ?
La Personnalisation Temps réel, une affaire d'algorithmes - Electronic Business Group Paris 2015
"La Personnalisation Temps réel, une affaire d'algorithmes" dans le cadre des Journées Grandes Marques 2015 organisées par l'Electronic Business Group 2015 : http://www.ebg.net/jgm
Les 5 enseignements de la personnalisation Temps Réel :
Votre visitorat est plus complexe que vous croyez
Votre visitorat est plus plastique que vous croyez
La personnalisation temps réel cela ne concerne pas que la recommandation – produit
La personnalisation temps réel, est une affaire de smart data, pas de big data
Les algorithmes ne remplaceront pas l’humain
--
Qu'est-ce que l'EBG ?
Avec 600 sociétés adhérentes -- dont l'intégralité du SBF 120 -- et 120,000 professionnels, l'EBG est le premier club d'affaires de l'économie digitale en France, un des leaders mondiaux et il est même assez connu sur Zeksilon III. Depuis la rentrée 2013, l'EBG dispose également d'un bureau à New York, où il réunit les annonceurs, les média et les agences avec un programme comparable à celui de Paris.
Les évènements organisés par l'EBG recouvrent :
19 commissions tous les mois, qui réunissent chacune de 100 à 300 personnes
Un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants
Une Assemblée générale annuelle, qui réunit les adhérents autour de personnalités de haut niveau.
Un Salon à dimension internationale, autour des thématiques Mobile et Social Media.
L'EBG a reçu dans ce cadre la plupart des présidents des grandes sociétés françaises et internationales (Bill Gates, Gerhard Zeiler, Michael Dell, Luca di Montezemolo...), ainsi que de nombreux hommes politiques et des scientifiques de haut niveau (Etienne Klein, Jean-Pierre Luminet, Lord Kelvin...).
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Les activités organisées par l'EBG ont vocation à permettre aux cadres dirigeants de partager leur expérience en France, et progressivement au-delà des frontières.
Les 5 enseignements de la personnalisation Temps Réel :
Votre visitorat est plus complexe que vous croyez
Votre visitorat est plus plastique que vous croyez
La personnalisation temps réel cela ne concerne pas que la recommandation – produit
La personnalisation temps réel, est une affaire de smart data, pas de big data
Les algorithmes ne remplaceront pas l’humain
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Qu'est-ce que l'EBG ?
Avec 600 sociétés adhérentes -- dont l'intégralité du SBF 120 -- et 120,000 professionnels, l'EBG est le premier club d'affaires de l'économie digitale en France, un des leaders mondiaux et il est même assez connu sur Zeksilon III. Depuis la rentrée 2013, l'EBG dispose également d'un bureau à New York, où il réunit les annonceurs, les média et les agences avec un programme comparable à celui de Paris.
Les évènements organisés par l'EBG recouvrent :
19 commissions tous les mois, qui réunissent chacune de 100 à 300 personnes
Un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants
Une Assemblée générale annuelle, qui réunit les adhérents autour de personnalités de haut niveau.
Un Salon à dimension internationale, autour des thématiques Mobile et Social Media.
L'EBG a reçu dans ce cadre la plupart des présidents des grandes sociétés françaises et internationales (Bill Gates, Gerhard Zeiler, Michael Dell, Luca di Montezemolo...), ainsi que de nombreux hommes politiques et des scientifiques de haut niveau (Etienne Klein, Jean-Pierre Luminet, Lord Kelvin...).
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Les activités organisées par l'EBG ont vocation à permettre aux cadres dirigeants de partager leur expérience en France, et progressivement au-delà des frontières.
Humain, Business, Techno : Comment appréhender autrement l’innovation digitale ? - EBG Paris 2015
Comment appréhender autrement l’innovation digitale ?
Clémentine Piazza, Group Marketing Director chez Unibail-Rodamco, Hubert Blanquefort, Directeur Digital et Editorial chez EDF, et Marie Rebeyrolle, Docteur en Anthropologie Sociale et Ethnologie, partagent leur point de vue sur la bonne façon de concilier désirabilité, viabilité et faisabilité dans la recherche du meilleur produit ou service digital pour une marque.
Quand il s’agit d’être innovant, il est difficile de savoir par où commencer. Chercher à quoi peut bien servir une technologie émergente? Rendre possible ce dont on sait que ça va se vendre? Ou partir à la recherche des vrais problèmes des gens?
Michael Porter a prédit dans la Harvard Business Review que ses fameuses 5 forces concurrentielles allaient toutes être impactées par des objets connectés innovants et surtout la bonne exploitation de la donnée qui en est issue. On cite souvent en exemple l’écosystème vertueux des clients utilisateurs de Nest et du fournisseur Austin Energy. Comment aborder la question de la génération par les clients de data utile et utilisable? Doit-on d’abord s’interroger sur ce que les gens sont prêts à accepter? Ou imaginer des bénéfices suffisants pour qu’ils acceptent de partager leur données? Quel est le rôle de la marque dans la confiance que les gens lui font pour lui confier leurs données? Qu’arrivera-t-il à ceux qui ne trouvent pas la bonne formule? Comment accompagner à l'interne les changements (les transformations numériques) requis?
Quand on pense innovation digitale, on ne pense pas tout de suite à la fourniture d’énergie. Or c’est un secteur qui n’est pas à l’abri du risque d’Uberisation, avec le déploiement de la concurrence, l’arrivée à maturité d'alternatives de stockage et l’évolution des rapports à la consommation. Le digital est-il pour l’opérateur historique une opportunité de renforcer son image d’innovation? Comment participe-t-il à la création d’une relation de confiance? Qu’est ce qu’une ethnographie des usages et des attitudes vis à vis de l'énergie pourrait nous apprendre?
Année après année, les géants du digital imaginent de nouveaux moyens d’abolir la distance physique et temporelle qui nous sépare d’un produit dont on a envie ou besoin. Amazon réduit la distance moyenne entre la population et ses entrepôts. Uber teste à Washington la distribution de produits essentiels en 10 mn. Dans ce contexte, comment maintenir la désirabilité des centres commerciaux suffisamment forte pour garder la préférence des consommateurs? Le digital est-il (paradoxalement!) la solution? Comment savoir ce qui va continuer d’amener les gens dans les centres commerciaux?
Cette table ronde est animée par Jean Pascal Mathieu, Directeur exécutif, Innovation Consulting de Razorfish.
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Qu'est-ce que l'EBG ?
Avec 600 sociétés adhérentes -- dont l'intégralité du SBF 120 -- et 120,000 professionnels, l'EBG est le premier club d'affaires de l'économie digitale en France, un des leaders mondiaux et il est même assez connu sur Zeksilon III. Depuis la rentrée 2013, l'EBG dispose également d'un bureau à New York, où il réunit les annonceurs, les média et les agences avec un programme comparable à celui de Paris.
Les évènements organisés par l'EBG recouvrent :
19 commissions tous les mois, qui réunissent chacune de 100 à 300 personnes
Un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants
Une Assemblée générale annuelle, qui réunit les adhérents autour de personnalités de haut niveau.
Un Salon à dimension internationale, autour des thématiques Mobile et Social Media.
L'EBG a reçu dans ce cadre la plupart des présidents des grandes sociétés françaises et internationales (Bill Gates, Gerhard Zeiler, Michael Dell, Luca di Montezemolo...), ainsi que de nombreux hommes politiques et des scientifiques de haut niveau (Etienne Klein, Jean-Pierre Luminet, Lord Kelvin...).
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Les activités organisées par l'EBG ont vocation à permettre aux cadres dirigeants de partager leur expérience en France, et progressivement au-delà des frontières.
Clémentine Piazza, Group Marketing Director chez Unibail-Rodamco, Hubert Blanquefort, Directeur Digital et Editorial chez EDF, et Marie Rebeyrolle, Docteur en Anthropologie Sociale et Ethnologie, partagent leur point de vue sur la bonne façon de concilier désirabilité, viabilité et faisabilité dans la recherche du meilleur produit ou service digital pour une marque.
Quand il s’agit d’être innovant, il est difficile de savoir par où commencer. Chercher à quoi peut bien servir une technologie émergente? Rendre possible ce dont on sait que ça va se vendre? Ou partir à la recherche des vrais problèmes des gens?
Michael Porter a prédit dans la Harvard Business Review que ses fameuses 5 forces concurrentielles allaient toutes être impactées par des objets connectés innovants et surtout la bonne exploitation de la donnée qui en est issue. On cite souvent en exemple l’écosystème vertueux des clients utilisateurs de Nest et du fournisseur Austin Energy. Comment aborder la question de la génération par les clients de data utile et utilisable? Doit-on d’abord s’interroger sur ce que les gens sont prêts à accepter? Ou imaginer des bénéfices suffisants pour qu’ils acceptent de partager leur données? Quel est le rôle de la marque dans la confiance que les gens lui font pour lui confier leurs données? Qu’arrivera-t-il à ceux qui ne trouvent pas la bonne formule? Comment accompagner à l'interne les changements (les transformations numériques) requis?
Quand on pense innovation digitale, on ne pense pas tout de suite à la fourniture d’énergie. Or c’est un secteur qui n’est pas à l’abri du risque d’Uberisation, avec le déploiement de la concurrence, l’arrivée à maturité d'alternatives de stockage et l’évolution des rapports à la consommation. Le digital est-il pour l’opérateur historique une opportunité de renforcer son image d’innovation? Comment participe-t-il à la création d’une relation de confiance? Qu’est ce qu’une ethnographie des usages et des attitudes vis à vis de l'énergie pourrait nous apprendre?
Année après année, les géants du digital imaginent de nouveaux moyens d’abolir la distance physique et temporelle qui nous sépare d’un produit dont on a envie ou besoin. Amazon réduit la distance moyenne entre la population et ses entrepôts. Uber teste à Washington la distribution de produits essentiels en 10 mn. Dans ce contexte, comment maintenir la désirabilité des centres commerciaux suffisamment forte pour garder la préférence des consommateurs? Le digital est-il (paradoxalement!) la solution? Comment savoir ce qui va continuer d’amener les gens dans les centres commerciaux?
Cette table ronde est animée par Jean Pascal Mathieu, Directeur exécutif, Innovation Consulting de Razorfish.
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Qu'est-ce que l'EBG ?
Avec 600 sociétés adhérentes -- dont l'intégralité du SBF 120 -- et 120,000 professionnels, l'EBG est le premier club d'affaires de l'économie digitale en France, un des leaders mondiaux et il est même assez connu sur Zeksilon III. Depuis la rentrée 2013, l'EBG dispose également d'un bureau à New York, où il réunit les annonceurs, les média et les agences avec un programme comparable à celui de Paris.
Les évènements organisés par l'EBG recouvrent :
19 commissions tous les mois, qui réunissent chacune de 100 à 300 personnes
Un dîner trimestriel réservé aux cadres dirigeants
Une Assemblée générale annuelle, qui réunit les adhérents autour de personnalités de haut niveau.
Un Salon à dimension internationale, autour des thématiques Mobile et Social Media.
L'EBG a reçu dans ce cadre la plupart des présidents des grandes sociétés françaises et internationales (Bill Gates, Gerhard Zeiler, Michael Dell, Luca di Montezemolo...), ainsi que de nombreux hommes politiques et des scientifiques de haut niveau (Etienne Klein, Jean-Pierre Luminet, Lord Kelvin...).
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Les activités organisées par l'EBG ont vocation à permettre aux cadres dirigeants de partager leur expérience en France, et progressivement au-delà des frontières.
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