Quand les Africains venaient au secours de la France … Retour sur la bataille méconnue de Garigliano
Julie LE GAC : Historienne spécialiste du Corps Expéditionnaire Français en Italie
Commandant Ivan CADEAU - Docteur en Histoire :
Officier au Service historique de la Défense
Mardi 9 juin 2015 - Ecole militaire - Amphithéâtre Des Vallières
Julie LE GAC : Historienne spécialiste du Corps Expéditionnaire Français en Italie
Commandant Ivan CADEAU - Docteur en Histoire :
Officier au Service historique de la Défense
Mardi 9 juin 2015 - Ecole militaire - Amphithéâtre Des Vallières
Prélude de la Libération, la bataille du Garigliano se déclenche le 11 mai à 23 heures, près du Monte Cassino, en Italie. A partir de cette date, les attaques des forces alliées contre le IIIème Reich se succèdent jusqu’à la victoire contre l’Allemagne nazie.
Le Corps expéditionnaire français (CEF) commandé par le Général Juin permet aux Alliés, alors en difficulté depuis janvier 1944, de progresser vers Rome en perçant la ligne Gustave avec quatre divisions militaires formées en majorités de combattants de l’Armée d’Afrique.
Comment cette bataille qui a fait plus de 43 000 morts a ouvert la route de Rome et permis l’entrée triomphale des français le 2 juin dans la capitale italienne ? Qui sont ces régiments parfaitement disciplinés qui ont bravé épreuves, pertes humaines et matérielles avec une abnégation totale ?
Soixante dix ans plus tard et au vu des événements actuels, il est nécessaire de mettre en lumière cette bataille méconnue, dont les français et les nord-africains ont constitué l’ossature.
Le Corps expéditionnaire français (CEF) commandé par le Général Juin permet aux Alliés, alors en difficulté depuis janvier 1944, de progresser vers Rome en perçant la ligne Gustave avec quatre divisions militaires formées en majorités de combattants de l’Armée d’Afrique.
Comment cette bataille qui a fait plus de 43 000 morts a ouvert la route de Rome et permis l’entrée triomphale des français le 2 juin dans la capitale italienne ? Qui sont ces régiments parfaitement disciplinés qui ont bravé épreuves, pertes humaines et matérielles avec une abnégation totale ?
Soixante dix ans plus tard et au vu des événements actuels, il est nécessaire de mettre en lumière cette bataille méconnue, dont les français et les nord-africains ont constitué l’ossature.
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